Défenseur des dessinateurs

Robert Dansler a suivi de très près les intérêts de la profession. Tout jeune, il assiste aux réunions syndicales qui se tiennent dans le bistrot de ses parents.

 
 Ce génie du dessin a défendu aussi ses amis illustrateurs

Avant-guerre, il travaille pour le journal communiste Mon Camarade et prend le parti des dessinateurs de journaux qui sont contre l'invasion de l'agence Opéra Mundi et ses bandes dessinées américaines. La guerre arrêtera provisoirement tout cela.

La petite cocotte dessinée dans les récits complets indique un dessinateur français.

En 1946, il devient le secrétaire général du Syndicat des Dessinateurs de Journaux pour Enfants (S.D.J.E.) présidé par Alain Saint-Ogan. Son action est destinée à protéger les intérêts des dessinateurs français et leur permettre de vivre de leurs dessins.

Vous apprendrez dans le livre que tout cela n'a pas été si facile entre les ligues catholiques, les communistes, les éditeurs français et les amerloques...


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